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 Quel genre de films. Pitié pas Twilight [ft Zachary]

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Tiffany J. Addams
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Tiffany J. Addams



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MessageSujet: Quel genre de films. Pitié pas Twilight [ft Zachary]   Quel genre de films. Pitié pas Twilight [ft Zachary] EmptyMar 20 Juil - 20:12

La nuit venait de tomber sur Dublin laissant la ville en proie à tous ses démons. Et je connaissais quelque chose aux démons. Lentement, je regardai la ville de ma fenêtre. Le manoir Addams était situé en plein cœur de la ville de Dublin et je tirai machinalement une bouffée sur ma cigarette. Une semaine. Une semaine qu’on m’avait enlevée ma raison d’être. Mon vie (ma bataille ?). J’avais longuement pleuré après son départ en hurlant des « pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ? » J’en voulais au monde entier et le monde entier m’en voulait. Que faire ? Je pourrais sortir, aller n’importe où, attendre vainement que la mort passe à mes côtés et me prenne. La dernière baise de ma vie. La fac commençait à m’énerver. Cette fille commençait à me rendre folle. Je la voyais, revenir sans arrêt avec une fille, un homme (faisait-elle dans les animaux ?) alors qu’elle était mariée. Et pas au plus moche en plus. « Pétasse, articulai-je. » Bien sûr, ce soir, elle serait surement en train de chercher une nouvelle proie, afin d’humilier encore plus son mari. Certainement un de mes ex. Elle avait un faible pour tout ce qui m’appartenait. La jalousie était un très, très vilain défaut. Et si j’allais à sa rencontre ? Et si je la vidai de son sang ? Idée tentante qui ne dérangerait certainement pas le jeune cocu. Trente ans et cocu de tous les côtés, quelle drôle de vie. Alors, je décidai d’aller l’aider. Enfin, j’allais essayer tout au moins.

Jetant la cigarette dans le cendrier (ou à côté ?), je filai enfiler quelque chose de plus… convenable. Je ne voyais pas sortir en sous vêtements en dentelle noire. J’étais peut être tentatrice, je ne devais pas devenir une trainée. Non, ça je lui laissais. Ma meilleure ennemie. En finesse, j’effleurai les tissus de ma garde robe, attendant que l’un d’eux me parle. De la soie, du cachemire, du jean ? Que mettre ? Cruel dilemme qui fut résolu en cinq minutes quand mes yeux se posèrent sur une robe noire offerte par mon ex meilleur ami, Ludwig. Nous ne nous étions pas parlés depuis… depuis des siècles. La dispute était encore toute fraiche et je devais attendre qu’il me pardonne. Qu’il me pardonne mon égoïsme, mon égocentrisme. Je retirai donc la robe de son cintre pour l’enfiler. La matière acrylique de cette robe me convenait parfaitement mais je me demandai si ça faisait ressortir mes bourrelets. Alors, je me contemplai dans le miroir. Non, j’étais divine comme toujours. Je souris à cette évocation. La modestie n’était pas une des plus grandes qualités des vampires. Ensuite, je me fis un de ses maquillages pseudo-gothiques qui faisaient peur à tout le monde. Ma vieille chauve-souris bougea derrière moi et je me retournai pour la contempler « Chuuut Nosferatu. Je vais chasser ce soir. Chasser la salope. J’espère ne pas attraper le sida si jamais je la mords. Tu connais Gina, il n’y a que le train qui ne lui ai pas passé dessus. »

Je souris à ma réplique avant de m’attacher les cheveux et de sortir. Dehors, il faisait chaud, très chaud et j’avais eu raison de coller une étole sur mes épaules et non de prendre mon long manteau en cuir. Les rues étaient bondés et il y avait foule de nombreuses potentielles victimes. Je me mis à rire toute seule à cette remarque et mis mon MP3 sur les oreilles. Connaissant Gina, elle serait surement au cinéma pour aller voir Twilight 3 parce qu’Edward est trop bôôô (quelle ignominie!) je me devais donc d’aller au cinéma voir Twilight 3. Mais quelle horreur. « Au moins, je pourrai toujours bouffer Gina pendant la séance, dis-je comme pour moi-même. » J’habitai à Southside or le cinéma était à Dublin four. Je pourrais toujours prendre le métro mais les odeurs de transpiration, non merci. J’aurai du appeler mon chauffeur mais j’avais la flemme. Alors, je me contentai de mes pieds. Cette chaleur, grand dieu cette chaleur. Et moi qui étais habillée comme ci j’allais au bal. N’importe quoi. Je marchai vite, ne faisant pas attention à ce qui se déroulait autour de moi. J’étais devenue méfiante depuis la dernière sortie en boite de nuit. Je les évitai d’ailleurs. Des hommes me rentrèrent dedans, se confondirent en excuses, je n’en avais que faire. Je soupirai. Depuis ma rupture avec Darcy, j’étais comme vide, comme un fantôme du passé. Je n’avais plus l’impression d’exister. Je n’étais plus moi. « Ma pauvre fille, tu es perdue. » Cette réflexion me fit penser au fait que je n’étais pas comme tout le monde.

Devant le cinéma, il y avait une queue monstre. « Génial, si j’en bouffe un ou deux, je pourrais gagner quelques places » En vitesse, je me mis dans la file et attendis quand soudain quelqu’un me héla. Alors, je me tournai pour voir un visage connu. « Ah tiens! Toi ici! Tu vas voir quoi ? »
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Zachary L. Evingston
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Zachary L. Evingston



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MessageSujet: Re: Quel genre de films. Pitié pas Twilight [ft Zachary]   Quel genre de films. Pitié pas Twilight [ft Zachary] EmptyMer 21 Juil - 0:01

    Les lumières venaient de s'allumer sur la belle ville de Dublin qui avait désormais revêtit son manteau le plus sombre. Assis sur mon balcon, je contemplais les rues... Elles étaient d'ailleurs magnifiques avec toutes leurs belles lumières et l'animation qui les guettait. Dehors ? Des centaines de personnes. Certaines titubant, d'autre déambulant, certains même encore s'embrassant devant une vitrine de robe de mariée. Comment pouvais-je avoir connaissance de tout cela alors que je me trouvais à des mètres au-dessus de la chaussée ? La réponse était des plus simples je le savais, un point c'est tout. De toute manière et à cette heure du soir on croisait souvent les mêmes gens et, enfermés dans leur quotidien pesant ils s'obstinaient à répéter chaque soir les mêmes gestes dans l'espoir de s'être construit une petite vie bien comme il faut, ou encore tentant de se convaincre que ce qu'ils possédaient leur convenait tout à fait. L'alcoolique du coin de la rue pensait qu'il devait boire pour exister aux yeux des gens puisque c'est comme cela qu'ils l'avaient toujours vu, alors il buvait. La vieille mendiante qui n'avait jamais rien fait d'autre dans la vie pensait qu'elle devait continuer de mendier et de dormir dehors (même si de nombreuses associations lui avaient à de maintes reprises proposé le gîtes et le couvert) puisque c'est ce qu'elle avait toujours fait, alors elle mendiait et s'endormait dehors. Un jeune garçon encore rentrait chez lui tenant la main de sa mère et pensant qu'il devait à tout prix obtenir ce jouet qu'il convoitait tant, il se dit alors qu'il n'avait d'autre choix que de le réclamer encore, alors il le réclamait. Et moi, assis sur le bord de mon balcon je tirai une nouvelle fois sur ma cigarette en prenant soin de bien laisser passer la fumée dans ma gorge et dans mes poumons... Un bien-être intense m'envahissait alors et, l'espace de quelques infimes secondes j'oubliais tout. Bien plus qu'une habitude que l'on prend, fumer était devenu pour moi un réel besoin, une addiction. J'avais pourtant arrêté de fumer à la demande de ma femme, mais depuis qu'elle et moi nous faisions la guerre ou plutôt qu'elle faisait tout son possible pour me gâcher la vie, je ne voyais plus aucune raison de lui faire plaisir. D'ailleurs elle ne m'avait jamais vraiment dit pourquoi elle voulait que je cesse de fumer, après tout ce n'était pas un défaut si grave que cela ? Il s'agissait plus de ma santé que de la sienne... Oh et puis qu'elle aille au diable, je la haie, je la déteste, je voudrais même qu'elle soit morte. Beaucoup de personnes seraient outrées de voir comment je parle d'elle, mais la vérité est que je m'en moque ! Cette garce n'a que ce qu'elle mérite et j'espère bien qu'elle finira par s'étouffer dans son vomi.

    Ayant terminé ma cigarette je l'éteignais et jetais mon mégot par-dessus le balcon, tant-pis pour la pollution et l'avenir de la planète, à cet instant c'était le dernier de mes soucis de toute façon. Tout ce qui m'importait pour le moment était de mettre fin à ce mariage stupide et inutile et la faire disparaître de ma vie. Tout ce que je désirais c'est être libre, enfin ! Si je parlais de mes problèmes avec Gina à quelqu'un, cette personne me répondrait surement qu'il me suffirait de divorcer, mais ce n'est pas si simple. Car cette garce sait pertinemment que si nous divorçons elle ne touchera probablement pas grand-chose puisqu'elle me trompe continuellement, elle sera rendue responsable de nos problèmes de couple et l'argent lui passerai alors sous le nez. C'est pourquoi elle refuse simplement de signer le papier et continue son petit numéro de petite femme parfaite qui cherche pourtant à me faire tomber par derrière. Mais qu'elle se rassure, elle n'est pas la seule à avoir de la suite dans ses idées et je pense même qu'à ce petit jeu je saurai me montrer bien plus fort qu'elle... Après tout je côtoie depuis toujours des gens mentalement détraqués, ils connaissent évidemment tous mon adresse, ainsi que mon numéro de téléphone et un accident est si vite arrivé. La version officielle dirait qu'un malade a pénétré chez nous, me cherchant pour me parler/le rassurer, ma gentille épouse lui aurai alors répondu que je n'étais pas là et donc dans l'incapacité de le/la recevoir, fou de rage le malade aurait alors dérapé et sauvagement assassiné cette pauvre Gina. Il m'aurait ensuite suffit de jouer au veuf épleuré et le tour était joué... En y repensant cette idée n'était pas totalement stupide et je devais sans doute méditer un peu la-dessus. Après tout bien réfléchi et travailler ce plan pourrait tout à fait fonctionner.

    Mais bon trêve de rêverie je verrai cela à un autre moment, pour l'instant cette garce n'est pas dans mes pattes et c'est le principal. Qu'elle s'envoie un homme, une femme, un hermaphrodite ou une chèvre je m'en moquais éperdument, du moment qu'elle me fichait la paix. D'ailleurs pour une fois que j'avais l'occasion de passer une soirée tranquille à la maison je comptais bien en profiter pour me manger une bonne petite pizza devant la télévision. Seulement tandis que je me dirigeais vers le réfrigérateur, je m'aperçus alors qu'il manquait quelque chose au centre du salon. Cette garce avait embarqué la télé et m'avait gentiment laissé un mot sur la table basse : " Cher petit époux, je me suis offert le loisir d'offrir ton écran LCD ainsi que ton home cinéma à mon amant préféré, ne m'en veux pas surtout, je me devais de le récompenser. Amoureusement Ta Gina."
    Fou de rage je laissais alors échapper un bref : « Salope ! » avant de froisser le papier et de quitter l'appartement en direction de mon véhicule. De là je me mettais à rouler sans pour autant savoir où j'allais vraiment, simplement conscient que j'étais sur les nerfs et que j'avais plus que besoin de me détendre. Et tandis que je passais dans l'une des rues les plus fréquentées de la ville, j'aperçus le cinéma et décidais que cet endroit était pile-poil celui où j'avais envie d'aller. Je garais donc ma voiture quelques mètres plus loin et marchait tranquillement en direction du cinéma. Quand j'arrivai à hauteur de celui-ci cependant, je fis face à l'immense foule d'attente et laissais alors échapper un nouveau juron d'exaspération suivit d'un bredouillage de mots, peu sympathiques eux-aussi : « Et merde ! Ces crétins ne pouvaient pas rester chez eux ce soir ! ». Prenant pourtant conscience (quelques secondes plus tard) que m'énerver ne servirai à rien, je prenais une grande inspiration et décidais de m'en griller une, lorsque j'aperçus dans la foule un visage familier. Je rangeais donc mon paquet de cigarettes et faisais signe à la principale intéressée. Il s'agissait de Tiffany, une jeune étudiante, un peu étrange certes, mais avec qui j'aimais tout de même discuter à l'occasion. Elle s'approcha donc de moi et tout en me souriant elle me demanda quel film j'étais venu voir. D'un geste lent, je haussais les épaules avant de lui répondre : « Oh je n'en sais rien... je ne me suis pas encore décidé, disons que je ne savais pas quoi faire et que je me suis finalement arrêté ici. Et toi ? une idée ? »
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Tiffany J. Addams
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MessageSujet: Re: Quel genre de films. Pitié pas Twilight [ft Zachary]   Quel genre de films. Pitié pas Twilight [ft Zachary] EmptyMer 28 Juil - 4:45

Zachary. La naïveté sans précédent. J'aimais beaucoup cette homme. Enfin, ce médecin mais que dire de plus sur lui mise à part qu'il me faisait de la peine. Être si naïf, ne pas savoir ce qu'il nous attend dans la vie. Je me demandai bien pourquoi il avait épouser Gina. Alcool ? Drogue ? Histoire de sexe ? Et encore voyant ce pauvre mortel, je devais bien me douter que Zachary n'était pas comme ça. Je l'appréciais, réellement mais comment lui dire que sa femme n'était qu'une cause perdue ? Je ne voulais pas lui faire de la peine, mais le mépris et l'embarras qui se lisaient sur son visage étaient pour le moins douteuses. Avait-il les mêmes plans que moi ? A savoir, supprimer sa femme ? Je pourrais l'aider si tel est le cas. Je serai capable de lui trouver quelqu'un pour le faire. Le présenter à Kathryn O'Grady par hasard. La petite fille du mafieux, du plus grand mafieux de Dublin. Lentement, je passais une main dans mes cheveux en voyant la file d'attente qui s'allongeait et qui n'avançait pas. Je commençai à me lasser, franchement. Les humains sont si insipides et peu patients. Quelques-uns s'énervaient et je ris devant leur impatience. Je ne savais pas trop quoi faire ? Devais-je faire comme eux ou simplement laisser couler. Décisions, décisions. Nonchalante, je sortis une cigarette de son étui et m'en grillai une en remarquant que Zachary m'avait posé une question et que je n'avais pas daigné y répondre. "Je cherche ton épouse afin de l'éventrer sur place. Ne l'aurais-tu pas croisé par hasard ? " J'avais demandé ça dans un battement de cils avant de tirer une nouvelle fois sur ma cigarette. Un homme - mortel certes - mais un homme tout de même, si mignon qu'une harpie s'amusait à faire souffrir. Je soupirai. " Je ne sais pas encore. Je pensais la trouver ici mais son manque de culture naissant ne coïncide pas trop avec cet endroit. J'hésite entre Inception et Night & Day. Par pitié, pas Twilight. Je hais ce genre de films niais à souhait. Leur transposition du mythe vampirique est complètement faussée et je ne pus que déblatérer sur leur compte." Grand dieu, je ne comprenais pas pourquoi les gens aimaient ce film ? J'avais été voir le premier par simple curiosité et uniquement parce que Lydwig m'y avait trainé de force mais franchement, je n'avais pas grandement apprécié. Lestat aurait bien ri en voyant tout ça. Je jetai ma cendre par terre et regardai aux alentours. La pluie menaçait mais nous étions à Dublin et ce temps était tout à fait compréhensible. A Brasov, il pleuvait tout le temps et il faisait froid. Je n'en pouvais plus de toute cette humidité mais on va dire que ma situation ne pouvait pas me permettre de m'exposer au soleil.

La foule bougea et je constatai qu'elle n'était composée que d'une majorité d'adolescentes. Ignoble. Ces connasses venaient sans doute voir le dernier Twilight: Eclipse. Bella choisira-t-elle Jacob ou Edward ? Le manque logique de cette population leur faisait croire que le choix final n'était pas décisif or l'auteur a clairement marqué le coup en disant que Bella préférait son faux-vampire à son loup-garou nudiste. Ayant vu la plupart des scènes à la télé, je savais grandement que le seul avantage de ce film était la grande présence d'effets spéciaux. Ayant fini ma cigarette, je finis par me tourner vers mon interlocuteur. "Et sinon, comment vas-tu depuis le temps ? On dirait presque une éternité que je ne t'ai point vu. Crois-moi je préfèrerai te voir toi pendant mes cours plutôt que la chose qui te sert de femme." Je savais que la dernière chose qu'il voudrait serait de parler de sa femme. Et je ne le voulais pas non plus. "Que dirais-tu d'aller voir un film drôle du genre Toy Story 3 puis ensuite on ira boire un verre au manoir. Cela devrait être plus divertissant que de nous demander toute la soirée quel sera notre sujet de conversation... Et puis, je souhaiterai vraiment rattrapé le temps perdu. Entre mon hospitalisation suite à l'explosion de la boite de nuit et mon voyage à Brasov, je ne t'ai pas beaucoup vu..." Je baissai la tête honteuse car j'appréciai vraiment Zachary. Il devait être le seul ami homme sincère que j'avais. Avant, je possédai bien Ludwig mais j'avais fait une énorme bêtise avec ce dernier et je ne savais pas trop comment la réparer... Peut-être ne souhaitais-je pas la réparer ?

Désolée, c'est plutôt court :s
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Zachary L. Evingston
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MessageSujet: Re: Quel genre de films. Pitié pas Twilight [ft Zachary]   Quel genre de films. Pitié pas Twilight [ft Zachary] EmptyJeu 29 Juil - 18:16

    Contrairement à moi Tiffany ne semblait pas le moins du monde agacée par cette situation d'attente et de queue interminable devant le cinéma, elle semblait même s'en amuser d'ailleurs. Chose que j'avais du mal à concevoir puisque le simple fait de devoir payer pour voir un navet et ingurgiter du pop-corn visqueux et infect m'exaspérait, c'était sans doute le cas pour la plupart des personnes normalement constituées...Et c'est peut-être pour cette même raison que ma jeune amie ne semblait pas s'impatienter devant tout ce bordel. Beaucoup de personnes à ma place se seraient contentés de dire que la jeune femme se montrait simplement d'une patience exemplaire, mais commençant à la connaître bien je savais moi-même que cela n'était pas la seule raison et que Tiffany désirait par son attitude, confirmer sa théorie grotesque (et encore je suis gentil). Car le simple fait qu'elle se prenne pour un vampire pourrait lui valoir l'internement immédiat, seulement je l'appréciais beaucoup et n'avais aucunement envie de lui créer des problèmes, elle n'était pas si dangereuse après tout... et quand bien même elle le serait je la laisserai faire, elle faisait preuve d'une telle sympathie à mon égard que je ne voulais pas gâcher notre lien "d'amitié". Secouant alors brutalement la tête (comme pour sortir de mes pensées) je me remettais alors à fixer Tiffany qui venait d'allumer une cigarette. La portant systématiquement et de manière répétitive à ses lèvres, elle n'avait pas pris le temps de répondre à ma question, se contentant de me regarder en silence. Pourtant, quelques secondes plus tard, elle sembla se souvenir de ma présence et m'énonça enfin la raison de sa venue ici, oui parce que ce n'était pas vraiment le genre d'endroit qu'elle fréquentait d'ordinaire...

    Je cherche ton épouse afin de l'éventrer sur place. Ne l'aurais-tu pas croisé par hasard ? Sa réponse ne me surprit qu'à moitié et me fit plutôt sourire, ce qui sembla l'intriguée au plus haut. Après tout, cette situation était tout de même paradoxalement risible : elle cherchait à la retrouver, moi à la fuir. Décidément cette Gina ne nous laisserai jamais tranquille, du moins pas jusqu'à ce qu'elle soit morte. Amusé par les propos (toujours plus haineux) de Tiffany je m'empressais de répondre en souriant : « A dire vrai j'étais plutôt venu dans le but de le ne pas la croiser justement. D'ailleurs elle peut s'estimer heureuse que je ne sois pas resté à la maison car je l'aurai moi-même étranglée. C'est bien tout ce qu'elle mérite cette garce. Car tu ne connais pas la dernière ?». Visiblement très intéressée ^^ par mes propos, elle me notifia que non d'un hochement de tête intrigué, m'incitant ainsi à poursuivre « voilà que cette traînée offre MON mobilier à ses amants, ah je te jure je ne sais pas ce qui me retient de là...». Préférant ne pas exploser en public je décidais alors de serrer mes poings, comme pour tenter de me calmer un peu. Tiffany elle, me regardait faire sans rien dire, de toute façon ce n'était pas elle qui allait me blâmer de mon attitude et de mes propos, elle détestait tout autant Gina que moi, si ce n'est plus...

    Fou de rage à l'idée de penser à cette garce qui me servait pourtant de femme, je ne réagis d'abord pas au discours de Tiffany, tentant toujours tant bien que mal de garder mon calme. Cependant, la reprise de son discours me contraint à lui répondre, après tout elle n'avait absolument rien à voir avec mes problèmes de couple et je n'allais pas laisser Gina, gâcher ma soirée, pas encore une fois.
    « Au risque de te decevoir tu ne l'as trouvera pas ici. Gina est venu voir ce stupide film pour pré-adolescent hier soir et si tu veux mon avis en ce moment même elle est à des années lumières de toutes ces conneries vampiriques, sans vouloir t'offenser bien sûr ». J'avais pris soin d'ajouter ces mots, me souvenant soudainement que Tiffany attachait une importance toute particulière à ce mythe et à ses créatures, croyant même qu'elle était l'une des leurs. Le sujet Gina étant pratiquement clos, elle me notifia alors du fait que nous ne nous étions pas vu depuis un certain temps et j'acquiesçai alors de la tête, gêné avant de répondre : « Oui je sais et d'ailleurs j'en suis désolé. Je n'ai pas pris de tes nouvelles ces dernières semaines... et honnêtement je n'en avais pas le temps, ni l'envie. Gina me pousse tellement à bout que une fois rentré, je n'ai qu'une envie : fermer les yeux et me reposer. Cependant, cela ne signifie pas que je m'en moque. Tu sais que j'aime malgré tout passer du temps avec toi et ce même si je ne te comprends pas toujours.». Sur son visage se dessina alors un large sourire que je m'empressais de lui rendre, ne pouvant m'empêcher de notifier le fait que sous ses airs étranges, elle était vraiment très jolie. D'ailleurs je manquais de tomber à la renverse en découvrant la tenue qu'elle portait, cette robe lui allait vraiment à ravir et si je ne la connaissais pas aussi bien j'aurai probablement... Non, non, non ! Sors toi ces idées de la tête, petit pervers va ! Elle est beaucoup trop jeune et en plus de cela elle t'apprécie alors ne gâches pas tout. N'empêche que...CHUT ! pensais-je ou plutôt me contraignais-je à penser tandis que la jolie petite étudiante me proposait une soirée des plus banales entre "amis". Quelques peu mal à l'aise face aux pensées déplacées que j'avais eu un instant plus tôt, je pensais d'abord refuser avant de finalement me décider à accepter. Je la trouvais vraiment très jolie dans cette robe c'était un fait, mais cela ne signifiait en rien que j'allais lui sauter dessus, elle était mon amie (oui je pense que nous pouvions nous considérer de cette façon maintenant non ? ou du moins nous étions de bons copains) et cela me convenait tout à fait.

    « Toy Story ? Hum... pourquoi pas cela me rappellera ma jeunesse perdue ! » je laissais échapper un léger rire avant de répondre positivement à son autre requête et à montrer par la même occasion une attention toute particulière à son état actuel « Etant donné que je n'ai rien d'autre à faire et que ta compagnie est loin de m'être désagréable, j'accepte ! Surtout que comme tu l'as si bien dis, nous avons du temps à rattraper... D'ailleurs comment te sens-tu face à cette situation ? Je veux dire l'incendie, tout ça ? Tu le vis bien ? Je sais que tu es solide et que tu te crois invincible, mais ce genre d'évènements ne laisse pas indifférent tout de même...»
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Tiffany J. Addams
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MessageSujet: Re: Quel genre de films. Pitié pas Twilight [ft Zachary]   Quel genre de films. Pitié pas Twilight [ft Zachary] EmptySam 31 Juil - 0:18

Ma patience dépassait largement celle de Zachary qui commençait à s’énerver. Je m’en amusai et je commençai à lui sourire, lui montrant que cela ne servait à rien de s’énerver. Je savais que Zachary ne croyait en rien au mythe vampirique et je le comprenais parfaitement. Cependant, je l’écoutai me parler de sa femme. Gina avait toujours eu un tempérament assez flamboyant. Je ne raconterai pas de conneries en disant que nous avions été amis au début. Elle m’avait bien berné la salope puis elle m’a piqué mon petit copain du moment. Au départ, je ne savais pas qu’elle était mariée, je croyais qu’elle était juste en couple mais quand j’ai su, quand j’ai su qu’elle était avec Zac, ça m’a mise hors de moi. Je lui avais sorti des horreurs, je lui ai sauté dessus en la griffant, la mordant et si certains ne nous avaient pas arrêté, je pense qu’elle serait morte à l’heure qu’il est. Zachary est venu me voir par la suite et j’ai vu la haine qu’il y avait pour sa femme. Et un point commun, un. «  On ne la changera pas elle, n’est-ce pas ? Je t’achèterai une nouvelle stéréo ou encore mieux… Tu viendras à la maison voir de bons films en le sous-entendant bien à ta femme et tout ce que tu as de valeurs chez toi, amènes le au manoir. Je le garderai pour toi. D’ailleurs pourquoi continues-tu d’habiter chez cette harpie ? Casses-toi, prends toi un appartement. Franchement ne te laisses pas faire Zac ou elle va te manger tout cru! » Je posai mon bras sur le sien, d’un geste compatissant et me mis à le caresser de haut en bas pour finalement lui prendre la main « On l’aura cette garce. On l’aura, ne t’inquiètes pas. » Qu’on fasse souffrir mes amis me mettait hors de moi. Surtout quand c’était une garce pareille. Je ne voulais plus qu’elle se charge de Zachary et je songeai à faire appel à un tueur à gages pour lui régler son compte à celle-là. Quand il me dit que je l’avais loupé d’une journée, je me mis à rager. Fuck. D’une journée en plus. « Eeeeeeeet merde! Tant pis, je l’aurai plus tard. Cette garce ne pourra se cacher de moi indéfiniment. » Cette femme était toujours source de problèmes. Comment s’en débrasser ? Je tournai le dos à Zachary et m’accoudais contre la rembarde pour finalement perdre mes yeux dans le vide. J’étais tellement bien en Transylvanie. Disparaître de la circulation pendant deux mois avait été revigorant. Je soupirai et une brise d’air frais vint me rafraîchir un peu. « Je conçois que certaines personnes ne peuvent pas comprendre ce que je suis. Je ne cherche pas à te convaincre. Je m’en contrefous même. »

Je me tournai de nouveau vers lui et le monde autour de moi me rappela un endroit similaire deux mois auparavant. Je me souvenais de toutes les odeurs, des paroles blessantes que m’avaient dite Ludwig, de la manière dont j’avais envoyé balader Darcy et cette explosion. Des fois, il m’arrivait de sentir la chaleur des flammes sur ma peau. J’avais une partie du corps brûlé et heureusement on ne pouvait pas la voir à l’œil nu. Ce voyage chez mes parents m’avaient beaucoup aidé. Revoir les montagnes, prendre mon enfant dans mes bras et le laisser là-bas. Je suivais plus ce que me disait Zachary et quand il me parla de l’explosion. Je me figeai sur place. Je ne pouvais plus respirer et je regardai Zachary dans les yeux. J’étais restée dans le coma pendant deux semaines, à être intubée. Je m’étais presque vu morte mais personne ne pouvait le savoir et personne ne devait le savoir. Je ne voulais plus en parler et refouler ses sentiments n’étaient pas bons. Et après tout, j’étais face à un psychothérapeute, je pouvais donc lui en parler. « Je vis un cauchemar éveillé tous les jours, Zac’. Il y a des jours où je me dis que j’aurai du mourir mais je sais qui m’a sauvé. Je sais qui a réussi à me maintenir en vie. C’est sa voix qui m’a faite revenir. Je t’avais dit que j’avais un enfant ? Un petit bout de deux ans que j’ai laissé en Roumanie avec ma grand-mère. » Démunie et presque en larmes, je me jetai dans les bras de Zachary. Ce souvenir douloureux me tirait au cœur et je voulais aller mieux.. Franchement, je voulais aller mieux. Mais je n’osai plus trop sortir. D’ailleurs, je voulais rentrer dans cette salle et j’allais jouer de mon prestige. « Viens, dis-je à mon interlocuteur en le prenant par la main. »

Sans gêne, je passai devant tout le monde et regardai les gens de haut. Aller tous vous faire voir. Être dehors me faisait peur. Je voulais être dans le noir. Lentement, j’arrivai au guichet et gratifiai le mec qui allait commander ses places d’un œil mauvais pour passer devant lui. « Bonjour, deux places pour Toy Story 3. » Le mec me signala que je devais attendre mais je lui tendis un billet. « Vous ne savez pas à qui vous parler. Je suis la comtesse Addams et je veux mes places maintenant ou je vous promets que vous le regretterez amèrement. » Le mec me tendit les places, tremblant et je le gratifiai d’un sourire qui le mit mal à l’aise. Ensuite, nous entrâmes. Une fois à l’intérieur, je regardai Zachary pour lui faire un clin d’œil. « Now nous sommes entrés. Que veux-tu faire ? Aller chercher à manger ou aller direct dans la salle ? »
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Zachary L. Evingston
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Zachary L. Evingston



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MessageSujet: Re: Quel genre de films. Pitié pas Twilight [ft Zachary]   Quel genre de films. Pitié pas Twilight [ft Zachary] EmptyLun 9 Aoû - 23:10

    La sympathie que me portait Tiffany me touchait vraiment beaucoup, je crois même que personne ne s'était montré si gentil avec moi depuis bien longtemps. C'est bien simple avec elle j'avais l'impression que tout devenait simple, agréable, doux et sans problème...Elle était si douce, si chaleureuse, si généreuse et serviable qu'au aurait presque pu la croire irréelle, ce qu'elle feignait d'être parfois d'ailleurs. Mais la vérité était pourtant très simple; Tiffany se conduisait tout simplement comme mon amie et, elle prenait son rôle très à coeur, la preuve en était qu'elle était toujours prête à me rendre service. C'est la raison pour laquelle je m'empressais de la remercier : « Non nous ne la changerons pas malheureusement, Gina restera à jamais cette éternelle garce qui ne vit que par et pour le malheur des gens enfin bon... Enfin il existe tout de même des personnes très sympathiques et généreuses, des personnes comme toi par exemple et je te remercie vraiment pour tout ce que tu fais pour moi, j'apprécie réellement et... pour être tout à fait honnête je suis ravi et honoré d'avoir une amie telle que toi.» Je marquais alors une pause et lui souriais une fois de plus, laissant ainsi exprimer l'émotion et la reconnaissance qui me gagnait alors. Puis je reprenais le fil de mon discours, arborant une légère moue et tentant tant bien que mal de décliner son offre de cadeau au mieux. Son geste était noble certes, mais il était in-envisageable, absolument in-envisageable que je laisse une femme m'entretenir et ce quelle qu'elle soit. « J'apprécie ton offre, mais tu me connais j'aime faire les choses par moi-même et, c'est la raison pour laquelle je me débrouillerai pour me racheter une stéréo. Quitte à faire des heures supplémentaires au boulot, qu'elles servent à quelque chose. Ceci dit je ne suis pas contre le fait de passer une soirée avec toi à l'occasion. ». Elle me sourit alors visiblement amusé et satisfaite par mes propos, je me contentais de lui sourire de nouveau (craignant une nouvelle crampe à la mâchoire) et l'écoutais me poser une fois de plus la même question complexe, celle que je n'aimais pas entendre, celle à laquelle j'étais bizarrement incapable de répondre...

    « Oh tu sais je n'en sais trop rien, un paquet de choses font que je ne peux pas m'en aller comme cela du jour au lendemain. Premièrement ce n'est pas SON appartement, mais le NOTRE ! Nous avons tous deux travaillé pour l'avoir, du moins j'ai travaillé et puis, j'aime cet endroit, je m'y sens bien, apaisé et en sécurité... Maintenant il est clair que je ne vais pas pouvoir supporter cette situation encore bien longtemps et, j'en suis conscient il va falloir trouver une solution ! Seulement je ne veux pas baisser les bras le premier, je ne veux pas qu'elle y trouve son compte une nouvelle fois, qu'elle gagne encore. Tu comprends ?». Tiffany me notifiait que OUI d'un hochement de tête et commençait à me caresser tendrement le bras en signe de compassion et de consolation... Je la laissais faire, sans rien dire. Me contentant de lui adresser un énième et maigre sourire, après tout un peu d'affection ne me ferait pas de mal pour une fois. Puis après avoir pesté derechef sur ma "charmante épouse", elle lâchait dans un long soupir que mon opinion et celle des gens l'importait peu en fait. En signe de compassion (puisque j'avais tout à fait confiance que son comportement général avait le don d'intriguer certaines personnes et de lui valoir toutes sortes de jugements), je lui ébouriffais les cheveux et ajoutais : « Laisses les gens qui te jugent aller au diable ! Car après tout c'est de part ton excentricité que tu es des plus attachante et, c'est pour cela que je t'aime... en amitié bien sûr ! ». Navrant n'est-ce pas ? Maladroit peut-être ? J'en avais conscience, mais j'avais une fois de plus voulu ressortir l'une de ces répliques de films stupides et le résultat n'avait pas été celui escompté, tans pis. Au pire je risquais quoi ? Passer pour un con une nouvelle fois ? J'en avais l'habitude, alors...

    Pas plus étrange que d'ordinaire, Tiffany semblait pourtant préoccupée, comme continuellement perdue dans ses pensées et déjà elle ne m'écoutais plus déblatérer... Elle fixait la foule qui avançait à reculons et, adressait de brefs regards au vendeur de billets... Jusqu'au moment où elle me fit soudainement volte-face comme bouleversé par mes propos. Au début de marbre, elle ne me dit rien se contentant de me fixer avec effroi jusqu'à ce qu'elle se décide enfin à me parler, hésitante. Je l'écoutais alors attentivement, d'autant plus surpris par sa réaction et par ses joues devenues écarlates et qui s'humidifiaient peu à peu devant moi. Jusqu'alors je n'avais jamais vu Tiffany pleurer et c'est sans doute pourquoi je me sentais si mal à l'aise face à ça. Désespérée et ressentant surement un besoin certain d'être rassurée, elle me sauta alors dans les bras me sortant par la même occasion de mes pensées et de ma stupeur et m'incitant ainsi indirectement à la serrer contre moi...

    « Je suis désolé Tiffany je ne pensais pas que ma question te bouleverserait autant je... je dois t'avouer que je ne sais que trop peu quoi te dire. Ce genre de situation, de "miracle", de pouvoir sur la vie et la mort est une chose qui m'est totalement inconnu mais.. le principal c'est que tu sois vivante et, le fait que tu y associes ton fils peut-être tout à fait possible. Je veux dire par là qu'inconsciemment ta volonté de rester avec lui, l'amour que tu lui portes a eu raison de ton état de santé et t'as probablement donné la force de te battre et de t'en sortir. Après ceci ne sont que des propos subjectifs et, je me trompe peut-être, mais c'est la seule explication plausible que je vois à cet instant...». Je lui passais alors la main dans les cheveux en guise de réconfort et lui déposais un pudique baiser sur la joue avant de relâcher son étreinte et d'essuyer ses larmes à l'aide de mon pouce. « Enfin le principal c'est que tu t'en sois sortie et que tu puisses continuer à veiller sur ton petit bout. D'ailleurs tu ne m'as toujours pas montré à quoi il ressemblait... Je suis sûr qu'il est magnifique ! »

    Le quart d'heure d'émotions touchant à sa fin, Tiffany d'un naturel peu gêné et même plutôt totalement "je m'en foutisme" se dirigea alors brutalement vers le guichet de l'entrée du cinéma, bousculant alors les membres de la file d'attente et menaçant le pauvre employé du cinéma par la même occasion. Les menaces ne marchant pas ou du moins ne fonctionnant pas totalement, elle décida de le soudoyer et, nous pûmes ainsi rentrer dans l'établissement. Une fois à l'intérieur, elle m'adressa un regard complice et me demanda où je souhaitais d'abord aller. Amusé par son comportement je lâchais un bref « Tu ne changeras donc jamais ! » avant de l'attraper par le bras et de la conduire au comptoir du cinéma. Je me postais alors devant l'emplacement des friandises avant de conclure par un malin, mais tout aussi amusé : « Je crois que tu as ta réponse ! »
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