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 Vivement le vendredi soir...[Libre]

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MessageSujet: Vivement le vendredi soir...[Libre]   Vivement le vendredi soir...[Libre] EmptyDim 30 Mai - 17:08

Vivement le vendredi soir...[Libre] Eva_gr12
Mélissa Bermingham & ... ...

    VIVEMENT LE VENDREDI SOIR...

    C'est au commissariat de police que Mélissa se trouvait en ce vendredi après midi. Rien d'étonnant à ce qu'elle s'y soit trouvée puisqu'elle était en service. La jeune femme est en effet une jeune policière, tout en bas de l'échelle certes puisqu'elle ne possède que vingt-deux ans... mais bien décidée à gravir pas à pas les échelons. Elle est très appréciée de ses collègues et de ses supérieurs qui sentent en elle depuis le tout premier jour, une femme dévouée et courageuse. Les qualités pour exercer ce métier, elle les a à peu près toutes. Depuis son plus jeune âge, elle se passionne pour tout ce qui touche à l'univers de la police. Les séries policières Américaines, les armes à feu et la littérature traitant sur les plus grands tueurs en série... voilà quel était son quotidien, ses passions. C'était un comportement étrange, inquiétant, mais véridique... Plus jeune encore, pendant que ses copines de classe demandaient à leurs parents de leur offrir la dernière poupée barbie du moment, Mélissa, elle, jouait aux indiens et aux petits soldats avec ses trois grands frères. Dans la demeure familiale, aucune trace de féminité. Non pas que ses parents n'aient pas essayé... au contraire, combien de jouets divers et variés tels que des dînettes ou encore des poupées n'ont-ils pas tenté de lui offrir, mais ils ne recevaient en guise de remerciement qu'une moue et une grimace de dédain... C'était une véritable perte de temps. Masculine, Mélissa l'aura toujours été et ce jusqu'à l'âge adulte en passant par l'adolescence.

    Oui, l'adolescence fut probablement la période pendant laquelle la personnalité de Mélissa fut vraiment dévoilée. Elle avait de grandes difficultés à sortir avec des filles. Elle n'était pas asociale, loin de là, mais elle ne parvenait pas à s'intégrer à elles, malgré tous les efforts qu'elle faisait. Elle se sentait différente et elle n'avait pas tort... elle l'était. Sa différence fera plus tard sa force, mais à cette époque, elle ne le savait pas encore. Mélissa fit finalement la rencontre de quelques garçons et c'est auprès d'eux qu'elle grandira et atteindra l'âge adulte. Elle vécue plusieurs histoires amoureuses, mais aucune d'entre-elles ne dura bien longtemps. Il faut croire que ses conquêtes n'appréciaient pas trop ses manies de boire la bière au goulot, de faire des blagues douteuses et crues accompagnées d'injures en tout genre et de se procurer sa lingerie dans le rayon homme... Ce n'était pas forcément attirant mais c'est ce qui qualifie Mélissa et la jeune femme, pour rien ni personne au monde, ne changera sa manière d'être. Après tout, c'est sa personnalité avec ses qualités ainsi que ses défauts qui lui permit de devenir Policière et c'était son rêve, depuis toute jeune.

    Mélissa se trouvait donc en ce vendredi après midi au commissariat, dossiers en mains. Comme chaque fin de semaine, elle était stressée et excitée à la fois. Dynamique et assoiffée de travail, la jeune policière attend toujours avec impatience cette période de la semaine. Vous vous doutez bien que le vendredi est une journée particulière pour les policiers. Les jeunes sont tous alcoolisés, c'est la fin de semaine et ils relâchent la pression. Et Mélissa sait pertinemment qu'elle n'aura pas le temps de s'ennuyer. Elle recevra sans aucun doute de nombreux appels de ses supérieurs et interviendra sur plusieurs affaires sans compter celles qu'elle possède en mains, trois dossiers à traiter au plus vite. En effet, elle surveille depuis quelques temps des jeunes et est sur la piste d'un trafic de drogue. Mélissa s'enferme alors dans son bureau afin d'étudier toute cette paperasse dans le calme.

    Caliban O'Brian... elle suspecte ce jeune homme d'avoir un lien avec le trafic de drogue sur lequel elle enquête. Mélissa avait un informateur parmi les drogués et ce dernier est mort d'une overdose après avoir dressé le portrait robots de son dealer... La jeune femme est bien décidée à accumuler les preuves contre ce dernier et malgré ses sourires qui se veulent moqueurs, elle n'est pas prête à se laisser intimidée. La jeune femme fronça légèrement les sourcils, après avoir feuilleté les quelques pages de ce dossier. Si elle en a le temps, Mélissa tentera d'interroger quelques étudiants au sujet de Caliban... Elle referma doucement ce dossier afin d'en ouvrir un second.

    Taylor Greene... Une jeune femme que Mélissa a coffrée alors qu'elle frôlait l'atteinte à la pudeur sous l'influence de la drogue. Finalement, elle a été rapidement relâchée, mais ce n'est pas pour autant que Mélissa lui fiche la paix. Elle est toxicomane et ceci inquiète Mélissa plus qu'autre chose. Elle a l'habitude de côtoyer ce genre de personne et malheureusement elle en a vu mourir et Mélissa souhaiterait réellement parvenir à placer la jeune femme en désintox' mais ceci n'est pas une chose facile et elle n'est pas prête d'y parvenir. La jeune policière fit une courte grimace après lecture de ce dossier. Elle se demandait si elle allait croiser le chemin de Taylor en ce vendredi soir et si elle allait pouvoir l'interroger au sujet de la drogue, mais elle craignait également de la trouver dans un sale état. Ce genre d'affaire est probablement ce qu'elle déteste le plus. Notre jeune justicière considérant les toxicomane plus comme des victimes que comme des criminelles. Mélissa referma également ce dossier pour passer à la lecture de l'ultime affaire du moment...

    Son affaire préférée... Edward Fitzalan-Howard ! Son affaire préférée est un bien grand mot, disons que la justicière est frustrée que ses efforts pour placer le jeune homme derrière les barreaux soient inutiles. En effet, Edward est défendu par les meilleurs avocats et par son père. Il est quasiment intouchable et cela énerve au plus au point la jeune policière. Elle redouble d'effort pour parvenir à le coincer. Il est adepte des excès de vitesse, particulièrement lorsqu'il croise un véhicule de police. Narguer Mélissa semble être son petit jeu favori et cette dernière ne parvient a garder son sang froid et lui répond par des insultes. Mélissa fit un petit sourire après lecture de ce dossier et elle le referma avec une douceur extrême. Edward Fitzalan-Howard... Un vendredi soir... Il y avait de fortes chances que leurs chemins se croisent en cette soirée et l'idée que cela arrive mit Mélissa de très bonne humeur.

    Elle se cala dans le fond de son fauteuil et ferma quelques secondes les yeux afin de visualiser de nouveau les trois « suspects ». Elle but une gorgée de sa tasse. Café noir et brut. Sans sucre, sans lait. Voilà quelle était sa drogue à elle... C'était à présent certain, Mélissa allait prendre du bon temps en cette fraiche soirée...
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Edward H. Fitzalan-Howard
▌Eenzaam Hond •
Chien maniaco-dépressif, alcoolique et solitaire
Edward H. Fitzalan-Howard



Feuille de personnage
● Relations:
● Occupation: Noble dépravé à temps plein

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MessageSujet: Re: Vivement le vendredi soir...[Libre]   Vivement le vendredi soir...[Libre] EmptyMar 8 Juin - 13:55

J'le pousse directement au soir, sinon c'était difficile pour moi x)


Je ne peux pas m’en empêcher. De tout mon cœur, à gorge déployée, les éclats de rires ricochent dans la boîte de métal rouillé. Les flics sont loin d’être en joie, cela provoque inévitablement mon hilarité. Imbéciles heureux. L’alcool coule à flot dans mes veines, chemise à moitié déboutonnée et veste mal ajustée, avec en prime le dernier accessoire à la mode : des menottes aux poignets. Serrées au maximum, par un policier qui en avait plus qu’assez de mon cinéma de riche dépravé. Je le comprends, le pauvre, mais cela ne me fera évidemment pas changer de comportement. Ma vie nocturne est inhérente à mon existence tout court, je pourrais presque ne me définir que par elle. Les écarts, les cigarettes aussi nombreuses que les verres, les sourires enfumés, relations stéréotypées et aseptisées, l’argent que je jette par les fenêtres, le monde que j’exècre, et celui-ci qui m’adore tout en me détestant. Parce que je suis Edward Henri Thomas Fitzalan-Howard. Riche, sang bleu, sourire charmant et charmeur. Bien sûr, je ne fais pas que boire et emballer des créatures. Je travaille, enfin, je fais mine de travailler pour mon père, sa compagnie qui touche à tout et surtout à l’argent. Je fais du profit pendant la journée, préfère vider les verres durant la nuit. Chacun sa façon de voir les choses. Ce n’est apparemment pas le genre de style de vie qu’appuient les deux policiers en faction m’ayant arrêté, je scrute leurs sourcils froncés et mines sérieuses, ce qui a le don de m’amuser davantage. Les quelques verres de trop doivent aider à rendre cette situation comique à mes yeux, j’imagine.

Je connais le scénario sur le bout des ongles de l’avoir tant de fois répété. À quelques variantes près, il est toujours le même : je sors dans une boîte de nuit ou un bar branché quelconque, au cercle VIP, je m’enivre un maximum, laissant quelques billets dans l’affaire, avant de sortir à l’air libre pour jouer une autre facette de mon personnage. Les excès de vitesse, les bagarres de rue, l’ébriété sur la voie publique. Mon avocat se remplit les poches et mon charmant paternel essaye d’étouffer l’affaire pour ne pas que je salisse la réputation de notre prestigieux nom de famille. Il a porté tellement t’attentes à mon sujet, espérant que je sois le fils parfait sous tous points de vue, stéréotype du garçon bien élevé et intelligent. Je ne manque pas de jugeote, je n’en ai cependant pas assez que pour me modérer. Ou tout simplement pas l'envie, la tendance à m'autodétruire à petit feu et me complaire dans mes malheurs, ma maladie, cette vie malsaine que je mène. Cette fois-ci, la raison de la fureur de la police ? Trois fois rien. Juste le volant que je n’aurais pas dû prendre, Mercedes flambant neuve et rutilante, et la pédale d’accélération qui me faisait de l’œil. Je n’avais pas eu le bonheur de tomber sur cette chère Mélissa, juste deux inconnus qui avaient fait crier les gyrophares. La mélodie criarde résonne encore à mes oreilles, symphonie tout en rouge, tandis qu’on m’emmène au commissariat de police. Je dodeline de la tête, une extrême bonne humeur s’étalant sur mes traits. C’est indéniablement une bonne soirée.

Lumières hallucinées, elles pulsent sous mes paupières. Je suis à l’arrière de la voiture de fonction, odeur de tabac froid et de café dans les narines, les néons de la ville dans les pupilles. Encore deux tournants et nous y sommes. Un sourire se dessine sur mes lèvres, j’analyse la situation avec tout le cynisme dont je suis capable, sans cesse protégé par mes sarcasmes et désillusions. Désillusions du bien, de l’égalité, d’une existence heureuse et sans heurt, de l’intérêt même de cette existence, de pareil train de vie. La béatitude apportée par l’ivresse et un excès de maniaquerie chasse cependant toutes ces élucubrations, l’excitation parcourt mes veines. Le moteur se coupe, les deux policiers sortent de la voiture, et je leur offre mon sourire le plus hypocrite dès qu’ils m’ouvrent la portière. Ils ne peuvent rien faire. Je suis protégé par l’argent placé sur mon compte en banque et l’influence de ma famille. Ils sont tout à fait conscients que m’arrêter est stupide, que je ressortirais aussi sec, mais l’espoir transpire encore de leurs traits. La ténue et si naïve volonté de vouloir changer des choses pourtant immuables. Je suis irrattrapable. Je n’espère aucune aide, je préfère me jeter à corps perdu dans la déchéance. Mon mal-être incurable va de pair avec ma personnalité, parfois différé lors de rares oublis. Trop courts, cependant. Main sur ma nuque, l’homme essaye de rester le plus doux possible, craignant tellement les représailles. Je le suis sans broncher, presque avec joie, mon pas faisant crisser le gravier jusqu’à la porte du commissariat de police.

« - Pas de ça ici. »

Haussement de sourcils, je fais mine d’être étonné, tout en sachant qu’on allait me dire cela. L’homme me retire ma cigarette des mains avant même que j’aie pu l’allumer, provocation pure envers les forces de l’ordre. On me dirige toujours de la main, mais je n’ai pas besoin de guide. Je connais ces successions de couloirs et de bureaux mieux que personne, les ampoules nues et ballantes des salles d’interrogation, l’odeur d’asphalte mouillée des cellules où me tiennent de temps en temps compagnie clochards ou autres gosses de riches arrêtés en même temps que moi. Le lieu n’a à vrai dire rien d’accueillant, mais les gens qui y travaillent sont pour moi une attraction. Cette jeune femme qui est sortie avec moi avant de s’en mordre les doigts, cet homme que j’ai déjà soudoyé pour éviter la case « nuit en cellule » et puis elle, Mélissa Bermingham, sans doute la plus intéressante des fonctionnaires de ce petit bâtiment. Les sarcasmes échangés et son énervement croissant, mon petit jeu en attendant que l’avocat ne vienne me chercher pour me sortir de là, sans que mon casier judiciaire ne soit sali. D’ailleurs, c’est vers la belle qu’on me mène. Apparemment, c’est elle qui tient le dossier « Fitzalan ». Le policier frappe trois coups secs à la porte de son bureau, attendant l’ordre d’ouvrir pour lui décharger la tâche de m’enfermer, refuser le plus longtemps possible mon droit au coup de téléphone, et surtout me supporter. Porte à peine entre-ouverte, je souris déjà. L'ironie s'échappe de ma gorge.

« - Mademoiselle Bermingham, toujours en train de travailler, un vendredi soir, à cette heure ? N'avez-vous donc aucune vie sociale ? J'aurais pu vous inviter à une quelconque soirée sans problème, il est inutile de m'arrêter juste pour le plaisir de me voir .. »
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Laureline M. Faure

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MessageSujet: Re: Vivement le vendredi soir...[Libre]   Vivement le vendredi soir...[Libre] EmptyVen 21 Jan - 4:56

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